Luc Story…Ii

Comme je l’avais prédit, nous sommes devenus Luc et moi amant. Nous nous sommes
tout de suite plu et nos attentes sexuelles sont les mêmes. Trois semaines se sont
passé sans qu’on puisse se voir, on ne communiquait que par texto, tous aussi
enflammés les uns que les autres. Un jeudi après-midi il est libre et moi aussi, nous
décidons de nous revoir toujours chez lui. Petite douche à la différence près, c’est
que cette fois-ci je me suis lavé deux bonnes heures à l’avance et à l’eau claire sans
savon pour avoir le même goût que lui la première fois (c’est un petit secret qu’il
m’avait confié) et je ne me suis pas rasé pour garder toutes les effluves.
Quinze heures pétantes je suis devant sa porte, je monte les escaliers quatre à
quatre, je vois la porte entre-ouverte. Je pousse et je découvre mon bel amant assis
sur le canapé le pantalon défait et sa queue qui en jailli. Waouh, le spectacle est
bandant. Je jette mon manteau au sol, une pelle d’enfer et tout de suite la main sur
sa queue. Je ne peux attendre plus longtemps, à genou je le pompe avidement. Je
retrouve ce goût divin et enivrant, de l’autre main je défais tant bien que mal ma
ceinture et mon pantalon. J’en sors ma bite gonflé, je me branle tout en le suçant.
Que c’est bon de se laisser aller ainsi. Sans lâcher ma prise je me débarrasse de mes
vêtements. A quatre pattes, le cul bien cambré je le sens s’ouvrir de bonheur. Je vous
plante le décor, lui assis sur le canapé les cuisses largement ouvertes, je suis
devant lui à le pomper goulument, d’une je le branle, de l’autre je me caresse les
couilles et la rosette que je fouille de deux doigts.
Je me relève et lui dis « Viens ! » Nous filons dans sa chambre où je me campe sur
le lit en levrette le temps qu’il finisse de se déshabiller. La tête dans les
oreillers j’attends son assaut.

Voilà enfin le moment que j’attendais je sens son
gland me caresser le cul, puis doucement il rentre m’arrachant un « OUIII » de
bonheur. Ce mec me rend dingue, je suis en transe quand il me baise comme ça. J’aime
sentir sa pine m’ouvrir le cul, la sentir butter au fond de mes entrailles. Il me lime
ainsi un bon quart d’heure et il me propose d’échanger les rôles. Je vais enfin
pouvoir prendre possession de ce petit cul. Je lèche les pourtours de sa raie y rentre
un doigt et je me plante, la queue en main, sur son œillet rose. Je pousse en avant
mon vit qui disparait petit à petit dans ses replis. Je lui fais comme j’aime qu’on me
le fasse, par petits paliers pour ressentir encore plus de plaisir. Je le pilonne
ainsi de longues minutes, faisant ressortir ma pine et la remettant sans aucun effort.
Mon plaisir monte, je sens ma liqueur prête à jaillir, quelques mouvement de bassins
et j’inonde de foutre mon petit fourreau d’amour. J’en ressors la bite couverte de
crème, il s’allonge sur le dos, se branle et me dit « Viens ! ». J’enfourche mon bel
amant, d’une main je le guide vers cette pénétration que j’aime tant. Je m’assois
complètement sur lui planté sur son vit. Je roule du bassin, tressaute sur lui, je
m’empale littéralement. Il m’agrippe par les hanches et m’encule sans modération.
J’aime parler quand je baise, je l’invite à me bourrer telle une chienne. Ses coups de
boutoir sont si puissants qu’il me soulève à chaque coup de bélier. Je l’encourage
encore et encore. Il gémit, puis crie son plaisir, vidant sa laitance à grandes
saccades. Je me plaque sur lui pour ne pas perdre une goutte. Je m’allonge sur lui
l’interdisant de ressortir de sa geôle. Mon bel amant tout essoufflé me caresses les
fesses, de mon côté je me dandine encore un peu et je fais glisser mes doigts sur ses
tétons durci par l’excitation. Doucement, je la sens débander, mon cul dilaté par ses
assauts répétés laisse suinter un filet de foutre qui s’étale entre son pubis et mes
couilles.
On est bien là repu de sexe qui nous avait tant manqué.
Il me retourne sur le dos, m’embrasse délicatement les lèvres et ses doigts jouent
avec mon sexe qui a du mal à relever la tête. Ses doigts n’étant pas arrivés à leur
fin, il les remplace par sa bouche. Il tente de vains va et vient, rien ni fait elle
reste inerte mais j’apprécie ce doux moment et je lui caresse le dos. Son œillet
encore inondé, laisse apparaitre la preuve de ma fougue. J’y plante un doigt, puis
deux, je les fais rouler à l’intérieur, les ressorts un peu et avec un rythme
régulier je le sens onduler du bassin. Cela commence à m’excite de nouveau et je
reprends une demi vigueur. Il s’allonge sur le ventre les cuisses écartées, je viens
m’allonger sur lui. Ma semence fait office de lubrifiant, je le pénètre sans forcer.
Une fois bien planté en lui, je me redresse sur les bras, le dos bien cambré, je le
lime ainsi durant un long moment mais je sais que je ne jouirai pas. Je me retire,
laissant sa corolle ouverte empoissé de mon jus.
Il est temps maintenant de prendre congé. Petite douche réparatrice, toujours avec
son petit gode à trou et je le quitte attendant déjà notre prochaine joute sexuelle…


Suite au prochain épisode…

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